Compte rendu de la séance de mes films au Collège des Bernardins le 18 février 2019 à l'occasion du séminaire "L'art tout contre la machine". Ecrit par Rodolphe Olcèse.
Étiquette : l’oeil sauvage
25/04/13 – Festival Sonore et Visuel – Théâtre Robert Manuel – Château de Plaisir
aCROSS'13, Festival Sonore et Visuel à Plaisir à l'occasion duquel Olivier Innocenti (accordéon contemporain) et Maxime Barthélémy (live électronic) joueront en direct sur le film "L'oeil sauvage". Jeudi 25 Avril à 19h15 au théâtre Robert Manuel, Château de Plaisir (78). Château de Plaisir, 282, rue de la Bretéchelle - 78370 - Plaisir
TH.2058 – Tate Modern – unilever series
A silent excerpt of « L’œil sauvage » was integrated into Dominique Gonzalez-Foerster‘s creation : « TH.2058″ for the Tate Modern – Turbine Hall in London, 14 October 2008 until 13 April 2009. See the pictures…
Encyclopédie du Court-Métrage
"Les courts métrages de Johanna Vaude (Autoportrait & le monde, 1997, Notre Icare, 2001) sont les premiers à être remarqués à une vaste échelle. La reconnaissance de cette jeune cinéaste, qui mélange éléments graphiques et cinéma de l’intériorité, donne une visibilité à toute sa génération."
Pesaro Film Festival – Wild Eyes by Stefano Masi
The title of the program takes its name from Johanna Vaude's lysergic film, L’œil sauvage, which can be considered the pioneer of the rebirth of french avant-garde cinema of recent year […]
Independent Film Show – « In the abysse of emulsion. The renaissance of experimental film in France » by Stefano Masi
cet œil sauvage est bien sûr aussi celui de la cinéaste, qui nous invite a explorer son propre imaginaire construit autour d’une autre forme de vision, à l’intérieur d’un univers qui n’est plus le notre. Un autre corps, une autre planète, des lois physiques différentes sur lesquelles se construit une expérience visuelle « autre » par rapport à notre propre construction.
Bref 51 – Le cinéma pindarique et intérieur de Johanna Vaude par Raphaël Bassan
Après les hommages qui lui ont été rendus un peu partout en 2001, il était temps de faire le point sur l’œuvre déjà abondante, de Johanna Vaude, une jeune cinéaste indépendante française plus que prometteuse […]
Cinéastes 6 – Voyage musical et plastique au coeur des êtres par Vivien Villani
Le cinéma de Johanna Vaude est traversé par un style extrêmement personnel qui se dégage rapidement de ses influences, et irrigue toute son œuvre de façon très cohérente, quelque soit le support utilisé. En même temps, chacune de ses œuvre a une originalité et une identité propre. […]
Repérages 28 – Confrontations en tous genres par Nicolas Schmerkin
Après le duo Valérie Mrejen / Milena Gierke l'an dernier, c'est l’œuvre de Johanna Vaude, la coqueluche de l'expérimental français qui sera confronté à celle de la New-Yorkaise Martha Colburn […]
Festival Côté Court – « L’élan du coeur » par Agathe Dreyfus
On dit communément qu'un artiste décline toute sa vie la même "obsession", qui se retrouve à travers ses œuvres de manière plastique ou thématique. Bien sûr il y a du vrai dans ce lieu commun, mais il est vrai aussi que ces déclinaisons peuvent être infiniment riches et variés. […]
Libération – « Jeunes et expérimentaux » par Didier Péron
"Enthousiasme. En voyant ces films, mais aussi ceux flamboyants à s'en retourner les yeux de le très jeune Johanna Vaude qu'elle fabrique avec ciseaux et encre de chine comme des opéras psychédéliques faits main, en écoutant Photek ou As One à fond la caisse (L'oeil sauvage, Autoportrait et le monde...), on ne peut qu'être frappé par la diversité des approches et l'extrême enthousiasme qui les guide."
L’oeil sauvage [wild eye] – (Extrait)
L'œil sauvage traduit la vision. C’est le voyage d’un œil ouvert aux mondes (extérieurs et intérieurs) : il « s’intériorise », s’ouvre à d’autres perceptions […] : L’œil sauvage expresses our way of seeing. It is the trip of an eye that opens to the world (to both our inside world and the “real world”). It goes inside itself, opens to […]