Western Expérimental cinémathèque de Toulouse

Traverse Video Western Experimental Johanna Vaude Color Shoot

Le festival Traverse Vidéo programme une séance de Western expérimental à la Cinémathèque de Toulouse, mercredi 25 octobre 2023 à 19h00. A cette occasion, deux de mes vidéos sont programmées : Color Shoot et mon recut d'après les films de Sam Peckinpah. Voir la programmation complète...

Cinematheque de Toulouse Exposition Western

Traverse Video Cinematheque De Toulouse

Mon film Color Shoot exposé en boucle à la Cinémathèque de Toulouse du 5 au 18 mars, puis du 1er avril au 5 mai 2019.
Exposition sur le thème du Western d'après une idée originale du Festival Traverse Vidéo.

My film COLOR SHOOT will be exhibited (loop) from March 18 to March 20, and from April 1 to May 5 2019 at the Cinémathèque of Toulouse.
Exhibition about Western movies. Event organized by Traverse Video Festival.

Traverse Vidéo [Le regard de Yusef Sayed – Gaumont Wilson]

Traversevideoune

Projection au Gaumont Wilson : Le regard de Yusef Sayed - Large Angle et Notes et pensées sur une soirée à Traverse Vidéo par Johanna Vaude

Traverse Video – Carte Blanche – « Variations expérimentales »

Traverse Video Les Abattoirs Toulouse 2

Le festival Traverse Vidéo programme "I turn home" et un autre "film surprise" au Musée des abattoirs [...]

The Traverse Video Film Festival will screen "I turn home" and an other secret film for the Musée des abattoirs in Toulouse (France).[...]

Traverse Vidéo

Traversevideo 2006

Ensuite, loin encore de s’apitoyer devant les horreurs et exactions de l’homme à l’homme, et de (se) persuader que cela suffit à être en bonne conscience, ses films imposent pleinement un regard « libre et sauvage » qui se défasse de toute fascination. Devant la barbarie en mouvement, elle impose que l’on s’interroge sur « comment on regarde la violence », que l’on s’effraie que certains se plaisent à cet engluement de l’horreur. Devant l’habitude de l‘homme d’entendre sans les écouter les informations concernant le quotidien, survivant de rien, elle oblige à y revenir par le travail du film, sans oublier que c’est de film dont il s’agit, sans la naïveté de penser qu’une image serait le calque du monde.