Samouraï
J’apprends que les 3TTT que m’avait attribué Télérama pour mon film « Samouraï » s’est transformé en 4TTTT pour signifier leur enthousiasme en Bravo !
Critique par Anne Dessuant à lire sur le site de Télérama
TELERAMA – TTTT ON AIME PASSIONNÉMENT / BRAVO !
Lire la critique sur le site Télérama…
« Sur la fiche Wikipédia de Johanna Vaude, elle est qualifiée de « pluridisciplinaire »… ce qui est presque un euphémisme pour cette artiste sans frontières. En regardant son court métrage Samouraï, on peut tout de suite y déceler ses talents de réalisatrice, musicienne, monteuse, plasticienne, cinéphile, japonophile, vidéaste, peintre… En sept minutes défile un montage syncopé d’images en noir et blanc, en couleur, ou juste tachées de rouge. Le travail sur la pellicule est troublant, renforcé par celui sur la bande sonore (par Rémy Laurençon) : l’image et le son semblent aller en accéléré puis au ralenti, avancer par soubresauts et retour en arrière, l’une indépendamment de l’autre mais pas toujours… Les bruits et les cris entremêlés accompagnent de leurs dissonances des scènes quasi subliminales avec sabres et duettistes déchaînés. Et de cet étrange désordre autour de l’art du samouraï sourd une émotion imprévisible. On assiste, tendu et excité, à un poème visuel explosif ! »
Critique par Anne Dessuant
Lire directement sur le site de Télérama…
« Sur la fiche Wikipédia de Johanna Vaude, elle est qualifiée de « pluridisciplinaire »… ce qui est presque un euphémisme pour cette artiste sans frontières. En regardant son court métrage Samouraï, on peut tout de suite y déceler ses talents de réalisatrice, musicienne, monteuse, plasticienne, cinéphile, japonophile, vidéaste, peintre… En sept minutes défile un montage syncopé d’images en noir et blanc, en couleur, ou juste tachées de rouge. Le travail sur la pellicule est troublant, renforcé par celui sur la bande sonore (par Rémy Laurençon) : l’image et le son semblent aller en accéléré puis au ralenti, avancer par soubresauts et retour en arrière, l’une indépendamment de l’autre mais pas toujours… Les bruits et les cris entremêlés accompagnent de leurs dissonances des scènes quasi subliminales avec sabres et duettistes déchaînés. Et de cet étrange désordre autour de l’art du samouraï sourd une émotion imprévisible. On assiste, tendu et excité, à un poème visuel explosif ! »