Konbini au Cabaret vert
Au festival Cabaret Vert on danse, on regarde, on lit, on goûte
(et on ne s’ennuie jamais)
Après le plaisir du neuvième art, place à celui du septième art. Un cinéma de 200 mètres carrés accueille les festivaliers en quête d’ombre et de repos auditif sous un chapiteau pour une programmation éclectique et osée. Si j’ai pu me régaler en journée des films mashups de Johanna Vaude, réalisatrice qui tord les références classiques (Kubrick, Tarantino, Scott…) pour les remonter à sa manière débridée, Cabaret Vert propose chaque année une programmation de porno féministe à partir de minuit. Bigre.